DÉCAPITATION D’UN ENSEIGNANT : Après le choc, rechercher des solutions
Après l’égorgement d’un couple de policiers, puis d’un prêtre, c’est maintenant au tour d’un professeur d’être décapité au nom de l’enseignement qu’il avait délivré. Autant d’assassinats à l’encontre de représentants d’institutions de notre pays. Rien ne peut justifier ces actes monstrueux. 5 ans après les attentats de 2015, l’Unaf réitère les propositions qu’elle avait formulées et qui restent pleinement d’actualité.
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